Où l’on fait la connaissance de Paul, un fermier de l’Outback et de son pardessus, logiquement appelé Driza-bone comme « sec comme un os ».
Où l’on réalise que le tatouage continue de se faire une place au soleil dans la culture australienne.
Où l’on apprend que dans la tradition aborigène, les lignes peintes sur le corps font office de vêtement depuis 40 000 ans.
Où l’on croise la route de trois étudiants de la King’s School, fiers de leur uniforme hérité du colon britannique.
Où le cricket se pratique en short contre l’avis de Sa Majesté la reine d’Angleterre.
Où Roberto fait l’éloge de son Akubra, le must have du chapeau australien, dont la fabrication nécessite quand même une dizaine de lapins.
Où l’on se rend compte que les Blundstones, ces bottines inventées au 19ème siècle, sont un signe de reconnaissance dans le monde entier.
Où l’on rencontre Mecca, australienne d’origine libanaise qui a choisi de devenir sauveteur en mer à Sydney, sans renoncer à porter le voile.